Carbet Sabayo, et Witagron.

  

 

Puis nous avons pris la route des Chutes blanches Marie.

 

 

 

 

 

Puis c'est l'heure du repas,

 

 Petit conseil technique destiné aux futurs routards: si, sur la route, vous hésitez entre trois pistes, prenez donc celle la plus défoncée, et la plus étroite. Vous serez alors certains d'être sur la route qui mène à Witagron... C'est la vie qui veut ça... Par ailleurs, si vous craignez de vous être égaré, vous pourrez toujours consulter la carte: vous y trouverez de nombreux noms de village... Bien sûr, dans la réalité, ces villages ne seront souvent qu'une ou deux baraques agrémentées d'un panneau. C'est le Surinam qui veut ça...

Mais pour sûr, vous réussirez à arriver à Witagron.

 

 

 

( Witagron: un lieu où règne les bruits de la nature, un lieu  donnant à la vie quotidienne une nouvelle dimension, nuançant mon doux  regard sur la vie d'autrui.

Admirez à votre tour .....)

et

Voilà notre repas négocié à 40 dollars surinamais, même pas sous emballage, qu' une jeune demoiselle Bushininguée de pas plus de 12 ans sous les ordres de son père nous est allée chercher. Elle a pris deux beaux poulets à qui elle a finement découpé la tête, puis entrouvert les corps pour en retirer les entrailles et tout ce qui ne se mange pas. Impressionnant. Le Père lui montrait le geste à effectuer et elle, elle s'exécutait.

Ci dessous vous nous verrez à l'œuvre pour la cuisine avec l'aide de Mathias , le Franco-Surinamais vivant la moitié de l'année à Mana en Guyane Française et l'autre ici au "Pays Saramacca" comme il aime si bien le dire.

Allez il faut préparer la mixture pour que le citron et les différents assaisonnements donnent goût au poulet fraîchement tué.

 

 

Sur ce Bonne Nuit

et

à tout de suite pour la suite du Voyage.

Départ Brownsberg     Départ Witagron

 

 Surinam 2007

   Musique de la page que l'on peut télécharger Loksu