Ballade jusqu'à la plage de Shabadran.

 

 

 

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La Plage de Shabadran.

 

Ce matin après un réveil à 5 du matin, et un RDV à 6H chez Damas, plage de Kurine...

nous devions faire une marche de 2H dans des conditions plutôt difficiles.s

 

il s'avère que mon réveil fut retardé car je me suis trompé dans la programmation de mon téléphone( cela arrive à tout le monde). On est parti tambour battant. Mais voila la fatigue étant là et le stress du retard pour le RDV, m'ont fait prendre la mauvaise route.

Je nous ai rallongé de 15 Km.

Je vous dis pas en scooter à 5h20 du matin (sur une ile que nous commençons à connaitre à peine, nous devons rejoindre un homme nommé Damas pour cette fameuse balade, où les températures matinales sont avoisinantes à celle d'un été canadien) comme quoi c'était bien difficile.

 

Nous arrivons avec 6Mn de retard et mes doigts congelés. Nous rejoignons ainsi un couple de reporter pour le figaro qui fait un article et qui veut faire un livre sur les plus beaux paysages de la Nouvelle Calédonie (que nous avions aperçu au trou de Bône), mais aussi un couple (Calédonienne et Hongrois), et 2 femmes de métropoles. N'oublions pas les accompagnateurs Edouard et John .....

 

Il s'avère que les journalistes s'octroient le droit de passer devant afin de faire des photos sans trace de pas d'autres touristes.

Qu'ils avancent l'heure de retour de 2h sur l'heure habituelle de la promenade (cela étant vu avec Damas) en commun accord avec le reste du groupe, pour continuer leur périple afin de faire leur article.

Comme les voitures ne peuvent pas passer la cocoteraie sans risque de casse. Tout le monde monte dans le Pick-up de Damas, sauf nous. Et oui je ne suis pas d'accord qu'on avance le retour de 2h d'une part, que j'aime bien notre indépendance (ce qui nous permet de les suivre en scooter et de revenir quand nous le désirons), car si j'écris ( avec beaucoup de fautes d'orthographe et de syntaxe) c'est seulement pour mon entourage et non pour tout le monde, alors je m'octroie le droit de voyager à ma guise.

 

 

 

Un chemin trop étroit bordé de brousses infranchissables, des ornières profondes qui entraînent le raclement du fond du scooter, des multitudes de noix de coco "anti-personnelles" qui minent le trajet, des palmes gigantesques qui se prennent dans les roues, une femme qui vous demande tout le temps de ralentir … Avec tout cela, sans oublier les quelques vaches solitaires, on a de quoi s'amuser un peu tout de même.

 

 

On profitera de la présence des guides pour s'informer sur l'histoire de ce lieu.

 

     

 

Le Toyota dépose tout le monde, nous garons notre scooter et nous voila parti sur le chemin de la Plage de Shabadran. Mais seulement après avoir négocié un service  avec Damas, celui d'obtenir de l'essence. Eh oui, faire un détour en scooter, se retrouver avec le réservoir vide pour le retour, ou du moins juste peut être pour aller jusqu'à la 1 ère station service des 2 stations services de l'Ile, n'est pas des plus rassurant. A son retour pour récupérer les autres touristes, il nous à mis à disposition un bidon de 5 litres. Un grand merci à cet homme.

Je retrouve une fois de plus l'esprit des iliens.

 

 

Bien sur, nous laisserons partir le groupe en avant et nous, nous avons pris notre temps pour profiter de ce périple et attaquer la 2ème partie de cette aventure sous de bons hospices.

 

Afin que vous en profitiez aussi, je tiens à préciser que le début de la journée se passe sous un temps gris et fini sous un soleil de plomb. Que le début de ce périple se passe en compagnie des autres et que la fin de la journée, nous nous retrouvons seuls au monde dans ce lieu magique, et nous avons eu que du soleil.

 

Après l'avoir vécu, je peux vous dire qu'effectivement c'est un très joli endroit, voir le plus belle endroit de Nouvelle-Calédonie, surement.

 

Sa beauté né de la difficulté à y aller, et y être s'est tellement reposant après toute les difficultés rencontrées, que l'endroit devient magique.

 

   

 

Un avant gout de ce qui nous attend tout le long de la marche...

Escalade, marche sur les roches (si on peut appeler cela comme ceci), montées et descentes régulières,

 

     

 

 

   

 

     

 

    

 

    

 

Cette 2ème partie de l’itinéraire borde la mer et, après la courte partie champêtre que vous avez vu ci-dessus, est réalisée presque exclusivement sur des rochers découpés et tranchants comme des lames, des rasoirs, des silex, des couteaux...

 (vous choisissez ce que vous voulez, c’est au choix, pourvu que ça coupe)

 

La preuve en image. C'est mes baskets, neuves d'il y a 2 semaines. Elles vont prendre un coup.

 

  

 

 

 

 

    

 

Dans le même temps nous trouvons le temps tout de même d'éternaliser tout cela.

 

    

 

    

 

Pour le plaisir de nos yeux et des votres.

 

     

 

On continue à vous prouver que ce chemin mérite le nom de terrain miné.

 

 

   

 

On arrive à la 3ème partie.

 

      

 

Après la descente finale, nous attaquons un chemin sinueux dans la Taïga calédonienne.

Ce qui est très reposant après les montées et les descentes le long des falaises de Kurine.

 

   

 

 

 

Pourtant cela n'empêchera pas la fatigue de me gagner.

 

        

 

 

 

 

 

       

 

On arrive au début d'une plage, je crois être arrivé, nous attendons les autres sauf les journalistes, quand on nous dit qu'on reprend la marche.

 

 C'est pas fini. C'était trop beau.

 

   

 

   

 

Le spectacle même sous le ciel gris est beau.

 

   

 

  

 

     

 

 

 

     

 

 

 

Et voila nous sommes repartis, le soleil arrive timidement et nous sommes dans une partie ombragée.

Ma bonne étoile est toujours présente.

 

    

 

 

 

Et enfin, nous arrivons dans la Baie de Shabadran. Que nous prononçons "Chabadjan". ne me demandez pas pourquoi, je m'en rappelle plus.

 

 

 

C'est beau mais il manque de luminosité.

 

   

 

    

 

   

 

Après quelques photos, nous  nous éloignons des autres:

 moi en passant par la barrière, sur le platier où l'eau montante me fera peur, et Ma Petite Flo en décidant de continuer sur les roches ciselées.

 

       

 

Par ici c'est moi....

 

 

 

Et par là c'est Ma Petite Flo.

 

 

 

    

 

Un petit trou de souffleur... 

 

     

 

    

 

Et voila ce que cela donne après nos retrouvailles.

 

 

 

   

 

    

 

 

     

 

 

A notre retour, on a mange et on a discuté un peu avec tout le monde avant leurs départs.

Puis nous restons seuls et le soleil arrive complètement.

 

 

La preuve...

 

     

 

On se baigne, on profite de notre salle de jeu.

 

    

 

 

Et on se dit que nous avons beaucoup de chance.

 

         

 

   

 

  

 

 

 

     

 

 

     

 

 

 

Ici c'est quelques méduses qui se sont regroupées pour nous faire peur et nous rappeler que nous aussi nous devons rentrer.

 

 

Mais nous sommes restés un peu plus longtemps, surtout qu'en on connait la difficulté pour venir et que ce n'est pas demain que nous reviendrons de si tôt.

 

 

 

 

 

   

 

 

     

 

 

Allez, on repart car la nuit va arriver et nous serons derrière les falaises, et qu'il y a du scooter à faire aussi...

Nous devons quitter ce paradis.

 

Comme disait Damas :

 

" Passer proche du paradis , ce serait bête de ne pas s'y arrêter."

 

Nous avons fait notre halte, et nous avons eu en plus le beau temps, que demander de plus?

Je sais, de l'essence pour le retour lollll

 

 

 

Nous refaisons le même trajet dans le sens inverse avec une halte à la plage que nous avions crue être celle de Shabadran à l'aller

 

      

 

Et sous le soleil le spectacle prend une autre dimension.

 

   

 

   

 

 

     

 

Mais nous n'avons pas le temps, continuons....

 

 

 

Il nous faut rejoindre les falaises de Kurine.

 

     

 

Ca grimpe raide, je peux vous le dire.

 

     

 

   

 

Mais tous ces efforts sont récompensés par la beauté des lieux.

 

     

 

  

 

Et même de la haut j'arrive à apercevoir des tortues plus bas.

 

 

C'est pas le tout, on se rapproche de l'arrivée...

 

  

 

   

 

 

    

 

 

La descente en vue, cela fait du bien au mental car les jambes, elles, elles prennent un coup sévère.

 

 

 

 

Notre Damas, ne nous à pas oublié, nous avons nos 5L d'essence dans un Bidon.

 

 

 

Ce fut une journée excellente

 

Sur le retour, comme on avait réservé nulle part pour le repas du soir, nous nous sommes arrêtés faire les courses pour nous faire à manger.

 

Et je trouve que l'épicerie porte bien son nom. 

 

 

On s'est préparé une sauce lardon à la crème pour accompagner le riz que notre hôte a voulu partager avec nous.

Nous étions partis à l'origine pour nous faires seulement des pates. 

 

 

A l'arrivée, nous aurons eu le droit à du riz accompagné de veau cuit au feu de bois ainsi que de notre sauce.

 

Une bonne nuit et puis c'est tout.

 

M'enfin.

 

 

  

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